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"Je suis la Justice!" Kryne Telthane [Terminé]

Kryne Telthane
Commisar de Justice

Esprit (PP) : 9
Corps (PP) : 3
Type de Nen : Manipulation
MessageSujet: "Je suis la Justice!" Kryne Telthane [Terminé]

Kryne Telthane

Justice? Je suis la Justice!

Nom : Telthane
Prénom :   Kryne
Âge : 24 Ans
Faction :  Institution (Zonkga)

Sexe : Homme
métier : Commisar de la Justice
arme : Sabre à garde Gothique 1827
nen : Manipulation

Caractère
Règles, Logique, tout est carré et doué de logistique dans l'univers bureaucratique du cerveau de Kryne Telthane, Commisar de Justice. Un homme autrefois brisé et maintenant réformé, il se noie dans la sécuritée d'une structure rigide et ferme pour échapper à un traumatisme passé. Le chaos, le désordre voir pire: l'injustice... ce sont des choses qui stressent Kryne, le dérangent, le rendent fou. Kryne est assez froid et distant quand il fait son travail de Commisar. Il ne souhaite plus se rapprocher trop de personnes qu'il risque de devoir condamner un jour. En fait, il veut juste pas se rapprocher de personnes depuis cette guerre civile. La guerre et la violence lui ont volé son adolécence. La misère et l'oppression l'ont démuni de son enfance. Cela en fait des ennemis du Commisar qui croit fermement en l'utopie imaginée par le Grand Batelier. Il garde d'ailleurs un portrait de son idole accroché au dessus de son bureau alors qu'il attends de nouvelles affaires dont il doit s'occuper. Néanmoins, il reste réaliste et comprends que son chef n'est pas infaillible, mais c'est bien pour ça que les ministères existent: pour faire ce que le grand homme ne peut pas accomplir. Après tout, le système c'est une grande machine et tout le monde doit oeuvrer pour la sociétée parfaite où la faim, la terreur et le désespoir ne sont que de mauvais souvenirs, des cauchemars sans plus.
Dans un zèle surhumain, Kryne met beaucoup de valeur sur son rôle de faire respecter la loi quasi-divine de L'Etat. Il en vient à dire que lui, tout comme tout le corps du ministère, sont bel et bien "La Justice" de ce pays.
Histoire



Je serais du parti à dire que tout avant la révolution n'était qu'un cauchemar, un rêve qui se dissous dans la brûme et la neige comme si il n'avait jamais été réel. Enfin, cela s'applique à ma vie personnelle, une vie que j'envierai à personne.

Nous vivions durement sous la vieille monarchie corrompue. Les aristocrates sous regardaient de haut depuis leurs palais enfermés dans les grandes villes alors qu'on travaillaient dans les champs.
J'étais le fils d'une famille de huit enfants, le 5ème pour être précis. On vivait de la terre avant d'avoir entendu parler de travail en ville. Une nouvelle sorte de métier qui opéraient des "machines". J'ai commencé à travailler donc à mes 5 ans pour aider ma famille à se nourrir. Toujours plus de bouches, entre mes frères et soeurs, mes parents, mes oncles et mes cousins... Toujours plus de travail à l'usine...
Certain l'appellaient l'enfer, mais j'ai trouvé un amour dans cette régularitée. Après tout, on vient de rendre le travail simple. Un jour, ne serions nous pas libre du travail, libres de se consacrer aux activitées de l'âme et de l'art? C'était bien les paroles d'un prophète philosophe qui voyait un nouvel avenir se dessiner et dont j'ai lu les idées. Le monde allait changer: c'est une prophétie que j'ai eu à mon 11ième hivers alors que je tiendrait bientôt entre mes bras ma soeur ainée décedée, assasinée, meutrie par un villain, un odieux bâtard de la noblesse, un monstre dans une peau de fillette.

Elle l'avait jugée plus belle qu'elle et refusait d'accepter qu'une paysanne pouvait l'être. Elle a ordonné à ses serviteurs de la battre à coup de poings et de bâtons. Ils l'avaient emporté pendant plusieurs jours et l'ont torturé avant de la jeter sur le bord de la route comme un détritus, violé et défigurée.
J'ai juré ce jour là que je défendrai les miens contre ces "supérieurs". De quel droit osent-ils nous diriger? Ils ne sont pas meilleurs que nous! La valeur d'un homme se mesure à la sueur sur son front par le fardeau qu'il doit porter, pas à la puretée d'un sang qui est toujours rouge.
Oui, car elle saigne rouge.
Je l'ai vue.
Je l'ai vue saigner rouge quand j'ai rejoint l'armée à 15 ans.
C'était clandestin, c'était illégal, mais c'était justice rendue. Dans l'obscuritée on avait avec 14 autres camarades attaqué ce petit cottage de sangs-bleus et on a rendu notre verdict. Coupables
Coupables de crimes odieux envers le peuple, envers nos familles et celles des autres, envers les leurs et les notres. Nous les avons jugés coupables et ont abattu ces chiens contre les murs de leurs corridors de papier peint luxurieux et de mirroirs en argent.
Alors que nous rendions justice, une enfant plus jeune et innocente sortit de sa chambre et nous vit exécuter les membres de la maisonnée. Un camarade commença à la viser mais j'ai baissé son arme. Elle est innocente, elle n'est pas comme les autres, elle n'a rien commis et ne mérite rien d'autre que notre pitiée et notre aide.
Ils ne fûrent pas du même avis.
Rapidement les cheveux dorés de la petite se teintèrent de rouge comme le drapeau que l'on embrasserait un jour. Le liquide vital se propageait sur ses jolies petites joues autrefois joyeuses jusqu'à salir son ourson en peluche qu'elle serrait entre ses bras. Impuissant, j'ai cupabilisé.

Puis j'ai eu 17 ans quand la révolution est arrivé.
Lieutenant Seconde-Classe Telthane, 6ème Armée, 3ème Groupe, 7ème Division, 15ème Brigade, 21ème Unitée. Telle est ma désignation d'Armée Noire lors de ce conflit éclair. La révolution fut en marche depuis longtemps sous le nez de ces nobles voyant pas plus loin que le grillage de leurs maisons. Nous, nous leurs avons fait voir le drapeau rouge! Nous avons peint nos rues des couleurs de la libertée et de la victoire en trois jours seulement. J'ai hurlé avec la foule alors que l'on est descendu sur la place royale, fusils en mains et coeurs batants dans la poitrine.

Et puis, justice devait être rendu.
J'ai quitté l'armée avec honneur, prennant le poste d'adjoint à la justice dans le nouveau ministère. J'ai traité les cas des anciens aristocrates ainsi que certains criminels ayant profité du chaos de la révolution.
Tellement de pouvoir entre mes mains... Avec une simple signature, je maniait la vie et la mort d'une personne, d'un être vivant, d'un homme qui a des rêves, des peurs, des ambitions et des personnes à qui il tient. Un tel pouvoir doit être manié avec justice, avec précision et avec impartialitée.

Un tel pouvoir ne peut être que froid et inhumain, car l'humanitée peut compromettre mon jugement. J'ai exécuté et épargné par un simple mouvement de stylo. C'est tellement simple et tellement éloigné, c'est terrifiant.
J'ai demandé à transferer mon bureau à côté des murs d'executions "pour accélerer le jugement" mais c'était juste pour me rappeller le poids de mon fardeau, de la réalitée derrière mes mots.
Il est facile de s'isoler entre quartre murs blancs et de manier les chiffres comme de simples statistiques. Il est bien plus difficile de porter chaque victime tel un fantôme avec soi, une sorte de prison personnelle ou d'armée de la justice. Pour moi, cela renforça ma conviction. J'étais devenu la justice, l'idée en personne, je l'incarnais pour le peuple de notre nation. Je l'ai vu dans les yeux des mères priant que j'épargne leur fils ayant commis un crime. Je l'ai vu dans l'outrage des pères à qui on a volé un enfant. Je l'ai vu dans le regard d'un enfant aux yeux sanguins qui m'a fixé quand j'ai ordonné de tirer.

J'ai fini par le voir dans le regard de la foule alors que j'ai passé le jugement sur mon propre supérieur pour corruption, détournement de fonds et collaboration avec l'ennemi: les groupes terroristes anti-gouvernementaux et les espions étrangers. Pour son crime, il a été exécuté en publique et j'ai enfilé son manteau de Commisar de la Justice, une position que j'ai pris à contre-coeur. Je l'ai pris car personne d'autre sera aussi impartial qu'il le faut, aussi juste qu'il le faut, pour le bien de tous et du peuple et pour la gloire du Grand Batelier. Son Idéal nous guide toujours et nous apportera dans une ère de paix et de prospéritée.

Cela fait bien des années que j'ai occupé mon poste.

Pourtant voilà qu'on m'interompt alors que je m'occupe du dossier du Camarade Orokim Wu ou N°578-TY-KM8-209 dans le cadre de l'affaire NKZY-PL56-4-02. J'allais déposer justement ma signature sur la feuille posée entre plusieurs tas sur un bureau en chêne vernis. Je me tiens là, relevant la tête pour regarder le petit clerc m'observer avec son petit tas de paperasse entre ses bras. Est-il impressioné par moi ou par le tableau du Grand Batelier que je tiens au dessus de moi?

Il entre enfin complétement dans la pièce, s'arrêtant après avoir fermé la porte pour me faire son salut. Je lui rends la pareille.

Camarade?

Commisar Telthane! Je suis Camarade Dongzho! J'arrive avec un dossier spécial d'ordres gouvernementaux à vôtre nom!

Approchez donc, Camarade Dongzho, je souhaiterai examiner ces documents.

Je sors mes lunnettes de lecture et prends le tas de feuilles dans une main et les apporte vers mon visage.

Vous êtes certain que c'est bien le Grand Commisar Olovig qui vous l'a fait transmettre?

Certain, Commisar!

Merci, Camarade. Vous pouvez disposer.

Dongzho? J'ai pas un dossier de suspicion sur cet homme? Je jette un petit coup d'oeil de travers et j'entre-apperçoit entre les dossiers en effet sa fiche. Possession de biens illégaux par le passé, suspicion de vol de nourriture dans les réserves? Hmm.

Alors qu'il arrive à la porte, je tiens à lui laisser un conseil amical.

Camarade, faites attention à vous. Votre fille sait peut-être pas encore compter, mais l'Etat le peut.

Il devient blafard, quittant la pièce en silence, tremblant presque. Cela doit sûrement être la joie de savoir qu'il a été sauvé par la bonté d'un Commisar. Un autre l'aurait surement fait punir avec sa famille pour un tel affront contre l'Etat.

Enfin, ces ordres...

Commisar, en vue de la situation récente, le directeur du ministère a décidé de prendre action pour ammener les criminels à la justice quelqu'en soient les moyens. Votre efficacitée et jugement exemplairs ont fait de vous un choix d'exception au sein de notre organisation pour faire partie du corps des Commisars Pour Situations Extraordinaires ou C.P.S.E qui interviendra sur les cas d'ampleur et si nécessaire au-delà des frontières en pleine coopération avec nos "alliés".
Vous avez été attribué le code {CPSE-09} qui vous identifiera dorénavant dans les documents officiels pour empêcher la divulgation de votre identitée aux espions. Vous retiendrez aussi en paralèle vos fonctions actuelles et futures si promotion à venir.

Vous êtes attendus dans le bureau du Commisar Général à 1830.

Grand Commisar Olovig


Je brûle les papiers comme il est protocole avec ce genre d'informations puis je me lève pour quitter mon bureau. J'examine ma montre rapidement pour vérifier l'heure avant de me diriger vers le bureau du Commisar Général.
Criminel? Situation Extraordinaire?

Quoiqu'il en soit, je suis la Justice et je tacherai de remplir ce rôle comme il est attendu de moi.


Copyright linus pour Epicode

Kryne Telthane
"Je suis la Justice!" Kryne Telthane [Terminé] EmptyMer 6 Nov - 21:01



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Kadan Seitetsu

Esprit (PP) : 1
Corps (PP) : 1
MessageSujet: Re: "Je suis la Justice!" Kryne Telthane [Terminé]

Bienvenue sur HHM !


Bienvenue à toi, Kryne !

Je me suis occupé de ta présentation, et voici les résultats :

Forme 5,5/9
- Grammaire : 0,5/2
- Orthographe : 1/2
- Conjugaison : 1/2
- Vocabulaire : 2/2
- Ponctuation : 1/1

Fond 6,5/11
- Effort : 1,5/3
- Cohérence : 2/2
- Narration : 1/1
- Adaptation au contexte : 1/3
- Appréciation personnelle : 1/2

Total : 12/20

Félicitations !

Bon, j'ai relevé tout de même pas mal de fautes de grammaire, de conjugaison et d'orthographe, surtout. Je sais que tu as fait ta présentation rapidement et c'est dommage car tu aurais pu gagner quelques points supplémentaires en te relisant ou en faisant corriger ton texte, je pense !

A part ça, ton adaptation au contexte reste très.. légère. Certes, tu plonges ton personnage dans ce qu'est la vie à Zongka, grosso merdo, mais c'est une partie très simple du contexte. Tu aurais pu, par exemple, parler de l'affaire Coglione (le plus simple), ou je ne sais quoi d'autre.

Tu es donc désormais validé niveau 12 à l'Institution. Tu peux d'ores et déjà passer en partie création de Hatsu si ce n'est pas déjà fait Wink
Awful pour Epicode

Kadan Seitetsu
"Je suis la Justice!" Kryne Telthane [Terminé] EmptyVen 8 Nov - 10:04



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