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Présentation de Osnejils Ugiabt [Terminé]

Osnejils Ugiabt

Esprit (PP) : 1
Corps (PP) : 1
MessageSujet: Présentation de Osnejils Ugiabt [Terminé]

Ugiabt Osnejils

Fou parce que lucide

Nom : Ugiabt
Prénom : Osnejils (le premier «s» est muet
Âge : Trente-deux ans
Faction : Civils

Sexe : Masculin
métier : Sans emploi
arme : Seringues et scalpels, scie chirurgicale (transportée occasionnellement), paire de lunettes et pilules anti-douleur
nen : Renforcement

Caractère


Dans une pièce qui aurait certainement gagné à être mieux éclairée et nettement moins chauffée, le doyen de la faculté des sciences de Philathébie gardait les yeux rivés sur l'écran, bras croisés. Tentant vainement de réprimer la contrariété qui le faisait bouillonner, il sautillait presque sur place, les bras croisés, à se mordre périodiquement la lèvre inférieure devant des images en noir et blanc de mauvaise définition. Aussi jeune qu'inadapté à ce poste qu'il avait obtenu, disait-on, à la force du poignet - branlette oblige - sa simple dégaine constituait en soi un rappel de tout ce qu'il incarnait. Il n'était pas sa propre personne, il était la personnification de son milieu social. Chétif comme un coq, le cou long, le crâne commençant à se déplumer, il portait une chemise serrée engoncée dans un pantalon qui l'était plus encore jusqu'à se terminer aux abords d'une paire de mocassins hors de prix.

- Là, là ! Vous voyez bien que c'est lui, non ?

Derrière lui, dans la pénombre à peine dévoilée par le seul écran de surveillance de la petite pièce qu'ils occupaient, un agent de police porta la photo qu'on lui avait remise auparavant à quelques centimètres à peine de ses yeux. Il était myope, le flic. Le bonhomme de la photo tout autant.
Comparant le minois photogénique qu'il venait de scruter avec ce que le doyen pointait de son doigt fin sur l'écran, lèvres pincées, l'agent de l'ordre plissa les mirettes afin que son analyse soit la plus aboutie possible. Le verdit le fut tout autant.

- On voit qu'dalle avec vos caméras de merde.

Du matériel qui avait vingt ans d'âge, il ne fallait pas trop en attendre. Rien même. Et encore, rien, c'était déjà beaucoup.
Puisqu'on préférait investir massivement dans les onéreuses et nécessaires nouvelles disciplines scientifiques «gender» compatibles, il n'y avait pas lieu de s'étonner quand le cambrioleur pris sur le fait n'avait à dévoiler qu'un visage étalé sur seize pixels dans le meilleur rendu possible.

- Mais je vous dis que c'est lui ! Qui d'autre ? Qui ? Hein ? Vous avez une piste ? Non. Bah moi je vous en donne une. C'est Ugiabt. C'est lui, c'est personne d'autre, d'accord ?

Quarante. Peut-être même cinquante. C'est le nombre approximatif de baffes qu'aurait administré le gardien de la paix dans les joues roses de ce parvenu fébrile qui touchait dix fois son salaire en travaillant cent fois moins. Mais il n'avait violé aucune loi. Mieux valait jouer le jeu, histoire de faire semblant de s'en soucier avant de l'envoyer chier. Car non-lieu il y aurait pour cette affaire. Pas besoin d'être un expert en instruction judiciaire pour le deviner.

- Pourquoi ça peut être que lui ?

- Mais parce que c'est un din~gue ! S'écria le principal intéressé de sa voix efféminée et insupportable. Vous l'avez jamais eu en face, vous. Jamais vous l'avez entendu causer. Il dit de ces trucs... je-vous-a-ssure, c'est un maboul. Cliniquement.

Et maintenant il y allait de son expertise médicale, lui qui n'avait jamais touché un stéthoscope de sa vie. Mais personne parmi ses confrères ne lui aurait prêté la contradiction. Osnejils Ugiabt rimait avec camisole de force chaque fois qu'il s'insinuait dans une conversation au coin d'un des couloirs de l'université.

- Savez... du vol de matériel scientifique... dans soixante-dix pour cent des cas, c'est pour la revente et les trente restants, c'est pour synthétiser je ne sais quel acide à la con. J'ai du mal à croire qu'un doctorant se fasse chier la vie juste pour ça.

Osnejils n'avait jamais été doctorant. Il avait manqué de l'être. De peu. Quelques mois. En tout cas, le doyen ne prit même pas la peine de corriger le flic, lui rentrant encore une fois dans la gueule, bille en tête.

- Vous me rassurez professeur. Non, non, vraiment. Savoir qu'un flic, que dis-je, une sommité scientifique de votre ordre me fasse la leçon sur ce qu'on peut faire avec du matériel volé dans notre université... vous m'ôtez un poids de la conscience.

L'ironie ne pouvait être verbalisée ou sanctionnée d'aucune façon. Le compteur de baffes manquées s'élevait alors à soixante-dix.

- Je connais mon sujet officier, ce qui a été volé, c'est des déchets biologique. Y'a pas de marché et aucun moyen de faire des amphétamines avec ça.

- Des déchets biologique ?

Le patrouilleur leva un sourcil. «Biologique», le mot faisait peur. Il avait de quoi.

- Oui... je sais pas ce qu'il peut faire avec, mais rien de bon.

Alors, le flic commença à prendre l'affaire au sérieux. Cette excentricité dans le crime ne lui disait rien qui vaille.

- Parlez-moi de lui.

En préambule à sa réponse, l'administrateur rachitique roula des yeux comme le faisaient les gens exaspérants de son espèce.

- Par où commencer ?... On l'a reçu chez nous après qu'il ait obtenu sa maîtrise en virologie appliquée, comme étudiant, j'entends. Il s'était ré-orienté en médecine. Il reprenait ses études depuis le début.
Bon élève, pas le meilleur, mais il travaillait bien. Enfin, de ce que j'en ai lu sur son dossier étudiant...


Le gardien de l'ordre restait coi, immobile, il attendait la suite.

- Sans être franchement sociable, l'était un peu timide je dirais, même pas très sûr de lui. Mais il se mêlait à la foule. Il sortait pas du lot. Rien à redire, c'était l'étudiant moyen.

- Je croyais que c'était un dingue. S'impatienta l'officier.

- Attendez ! J'y viens. Ça remonte à il y un an, à une vache près. Il lui arrivé un truc.

- Un truc ?

- Je sais pas de quoi il s'agit, mais il a changé. Du tout au tout. Une sorte de paranoïaque surexcité comme on n'en retrouve même plus à l'asile. C'était ça qu'il était devenu. Toujours à fleur de peau. Je me souviens - et mes collègues me le disaient souvent - il avait tendance à regarder partout autour de lui chaque fois où il allait quelque part. Anxieux comme pas possible, halluciné même.

En bon flic, le fonctionnaire de police réagit aussitôt :

- Drogué ?

Cependant, avec un air grave affiché et revendiqué sur son visage, le bavard en face la mit exceptionnellement en veilleuse et secoua lentement la tête.

- Quand on a vu comment il se comportait, on a prétexté une visite médicale obligatoire pour les élèves. Figurez-vous qu'il aura fallu appeler la sécurité pour le traîner jusqu'au cabinet médical. Une vraie chasse à l'homme pour le coincer. Comme fou je vous dis. Il hurlait, il se débattait, on aurait cru qu'il allait à l'abattoir. Il hurlait des trucs incohérents comme quoi on était manipulés par «eux» et...

- Eux ?

Il haussa les épaules.

- J'en sais honnêtement pas plus. Enfin... on le traîne chez le médecin, prise de sang, tout le tralala, et là.... pur comme des neiges éternelles. Pas la moindre consommation de drogue à répertorier. Pas même de l'alcool.
On n'a rien compris. On sait pas ce qui l'a rendu comme ça. Dernière fois que je l'ai vu, il était dans le couloir, il regardait autour de lui frénétiquement. Il avait souvent des spasmes à peine perceptibles qui me foutaient la trouille. Mais le pire, c'était quand il se marrait. Pas tant le rire en lui-même - quoi que ça glaçait le sang de l'entendre se gausser comme le dernier des psychopathes - mais le fait qu'il passait d'une expression sérieuse, limite hostile pour parfois rire comme un possédé quand on lui disait des trucs banals... rien que d'en parler ça me...


Non. Ça ne sentait clairement pas bon. D'autant moins maintenant qu'il y aurait un non-lieu. Parce que psychopathe versatile ou non, il n'y avait pas l'ombre d'une preuve tangible qui permettait de l'inculper. Savoir que pareil bestiau était libre comme l'air après s'être fait virer de l'université il y a quelques mois n'était pas pour rassurer les deux hommes.
Dure vie que celle d'un flic impuissant qui refermerait bientôt la dernière page d'un chapitre qu'un autre ouvrirai certainement dans un avenir proche. Un avenir peu radieux.

Histoire
« Il est allumé ce putain de dictaphone ? Pourquoi il est pas allumé ? Il est allumé ? Peut-être. J'aime pas parler dans le vide. La lumière rouge, ça doit vouloir dire que ça enregistre. Enregistre, enregistre, enregistre, enregistre. En-regi-streuh.
Je m'appelle Osnejils Ugiabt. Non. Si. Si. Si, c'est ça. Mais c'est pas comme ça que je voulais commencer mon... peu importe. Je sais même pas qui aura ce message. Je sais même paHahAhahaHAaHahahaaaa !

C'était quoi ce bruit ?

*Silence de quinze secondes*

Quand... quand j'étais môme, j'adorais les Hunters. Ces types sont objectivement fascinants. Ma mère m'achetait même des bouquins pour enfants où on nous racontait leurs découvertes. Des livres pour enfants... ces fumiers ont poussé la propagande assez loinHahaHaahhAh... j'en ai en tout cas bouffé depuis le berceau.
Mais fascinants !

Jamais je suis sorti du rang. Jamais j'aurais cru le faire un jour. Trouver le soupçon de cran qui nous permette d'être non pas une version domestiquée de nous-même, mais nous-même. Sans filtre. Sans édulcorant... sans tous ces conditionnements pour nous rendre dociles. Docile ? Non madame... c'est fini ce temps là. Je suis ce que j'ai toujours été, je le suis juste de manière révélée.

Tout môme... je rasais les murs. Avec mes encyclopédies Hunters dans le sac. Pas un mot plus haut que l'autre. Je baissais les yeux. C'était... c'était le mieux à faire pour ne pas être remarqué HahaHAhaha... pour ne pas que mon «Moi» ne déborde, vous comprenez. Ça aurait fait désordre. Ça fait désordre aujourd'hui en tout cas.

*Bruit d'une seringue insérée dans l'abdomen d'un corps vivant et qui en retire un liquide*

Voi-là~. Avant qu'il jaillisse ce... ce «Moi», j'étais comme les autres. J'étais... répugnant de banalité et d'insouciance. Devenir Hunter ? Comment j'aurais fait ? Des bêtes, ce sont tous des bêtes. Mon record à moi... c'est soixante-dix kilos au développé couché. Je faisais pas le poids.
Mais je m'étais mis en tête de travailler pour eux à un moment. La virologie... ça, ça me connaît. Paraît que certains Virus Hunter en recrutaient. Beaucoup d'appelés, très peu d'élus... encore une foisAhahhAhaha... je suis rentré dans le rang.

Ma mère voulait que je fasse médecine depuis le début. Alors j'y suis allé en médecine. Les deux pieds dedans que j'ai pataugé. Cinq ans de virologie et presque neuf de médecine. J'avais tout pour moi. Enfin... pour mon «sous-moi». Parce que ma carrière, mon prestige et ma fortuneHAhahahahahaH... je vis bien sans. Je vis mieux sans. Mais je vis plus. Je vis plus depuis ce jour... depuis.. DEPUIS CE MOMENT où... où mon «Moi» est ressorti.

Une Hunter. J'y croyais pas. La faculté avaient convié une Hunter pour donner une conférence en auditorium. Pour une fois... il était plein. Tas de branleurs. Virus Hunter en plus ! Un vilain clin d'œil forcé de la Providence. Celui qui m'a fait comprendre.
Parce que les autres bœufs assis autour de moi... rien. Ils n'ont rien compris. NI EUX NI LES AUTRES. Ni moi avant ce jour. Mon «sous-moi» j'entends...

C'est ce jour là où je suis né. Ou j'ai émergé de dessous les litres de merde qui m'empêchaient de me révéler. Ce qui en est ressorti.. hahahAHaHahaa... c'était pas beau. Mais c'était «Moi». Un condensé de.... allez... de panique. Oui. Oui, j'ai la trouille. Ça se voit, ça s'entend... j'ai la mort aux trousses à chaque instant, je suis terrifié parce que j'ai bouffé un trop-plein de lucidité un jour en amphi.

Je m'en souviens... comment je m'en souviendrais pas ?... C'est ce qui me motive chaque jour à faire ce que je fais... ce jour. OH-CE-JOUR HaahAHahhA ! Oui. Ce jour.
Ermenda Ivil qu'elle s'appelait. Elle faisait étalage de ses découvertes. C'était pas pareil que dans mes encyclopédies pour enfant. Y'avait comme un autre discours selon qu'on était initié aux sciences ou bien qu'on était un grouillot.
Initié, je l'étais, et pas qu'un peu. Le meilleur après elle dans toute cette foutue salle. Une maîtrise en virologie, ça vous permet de comprendre... de lire entre les lignes... de faire des projections réaliste...

Non. Je suis pas devenu fou. Non. non non non non non. noooo~n. Je suis devenu lucide, conscient. Fini le temps de l'insouciance, fini à compter de l'instant où CE-TTE MORUE... cette.. Ermenda, au moment où elle a affiché ses résultats d'analyse.
Ils écoutaient tous comme des cons en comprenant un terme sur deux. Je vais vous la faire courte : elle faisait muter des virus. Calmement, hein. Sans culpabilité ni vergogne. Tranquillou.  «Tu fais quoi cet après-midi ? Oh, je vais faire mes courses et toi ? Moi ? Je fais muter des virus, juste pour voir ce que je peux tirer de ces expériences. Ah ouais ? Eh bah, bonne continuation».

J'ai encore en mémoire le moment où elle faisait des plaisanteries sur un éventuel accident. Y'avait du ricanement de connivence partout.
Non ma chérie... l'accident, il est pas éventuel : il est certain. Et quand ça glisse des mains ces choses là... ça.. çaHAahAHahaHa, ça a vite-fait d'être salissant.

Et ça ne tient pas qu'aux Virus Hunters. Quand on ouvre les yeux, on voit. ON VOIT ! Tous... TOUS dans leur petite association ils sont du même tonneau. Pour la finalité de «la découverte», de «l'évolution» et puis... «du progrès», ouiiii~, important ça, le progrès.... au nom de tout ça, ces fous - parce que c'est eux les barjos, pas moi - ces fous... ils parachèvent les lubies de Prométhée et Icare. Donne le feu aux hommes, il inventera les bombes incendiaires, donne-lui des ailes pour voler et il brûlera en voulant tutoyer le soleil...

J'ai essayé de me rassurer. De faire des recherches. Ces gens là sont des cracks, hein ? Ils ne peuvent pas faire d'erreurs ! Pour ça qu'on leur a donné une licence enfin... pour certifier que... Ah, quelle connerie !
Elle a pas mis longtemps à macérer dans son jus, ma panique. Y'a des tas de sites qui répertorient les conséquences des découvertes des Hunters. Des bêtes innommables qui se retrouvent dans des zones urbaines, des épidémies curieuses qui émanent de nulle part, et l'hégémonie. Sont influents les carnes. Même le V6 ne leur refuse rien.

L'association Hunter... c'est qu'une question de temps avant que... pour la beauté du gesteHAhahahaHaHAHaaaha pour le progrès, hein et je ne sais quelle autre connerie, oui... juste une question de temps avant qu'ils découvrent une boîte de Pandore et qu'ils nous l'ouvrent en grand. Le cimetière de l'humanité. Voilà ce que sont ces gens.

Mais mon «Moi», il est sorti. Il en a soupé d'avoir été écrasé, inhibé. C'est.. c'est encore ça mon ultime recours. S'il était pas sorti, jamais j'aurais eu la force de;.. non ! Jamais j'y aurais même pensé.
Oui... je vais écraser l'association Hunter. D'une manière ou d'une autre. Par mes propres moyens ? Non. Nooooo~n. Je suis pas le seul à ne pas pouvoir les encadrer. Au fond... leurs raisons à eux, je m'en fous. Du moment qu'ils cherchent à y mettre fin.

De préférence... je préférerais leur ôter leur licence, aux Hunters. Mais ils ne se laisseront pas faire... tant pis. Il faut bien un frein à la machine volante d'Icare. Plutôt quelques chiens écrasés que récolter les fruits de leur progrès.

Ça enregistre ou pas ?...

*Bruit du bouton «stop» pressé accidentellement.*
Copyright linus pour Epicode

Osnejils Ugiabt
Présentation de Osnejils Ugiabt [Terminé] EmptyMer 4 Déc - 21:55



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Kadan Seitetsu

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Corps (PP) : 1
MessageSujet: Re: Présentation de Osnejils Ugiabt [Terminé]

Bienvenue sur HHM !


Bienvenue à toi, Osnejils !

Je me suis occupé de ta présentation, et voici les résultats :

Forme 9/9
- Grammaire : 2/2
- Orthographe : 2/2
- Conjugaison : 2/2
- Vocabulaire : 2/2
- Ponctuation : 1/1

Fond 7,5/11
- Effort : 2/3
- Cohérence : 2/2
- Narration : 1/1
- Adaptation au contexte : 1,5/3
- Appréciation personnelle : 1/2

Total : 16,5 arrondi à 17/20

Félicitations !  

Niveau français et compagnie, RAS.

Pour le reste, je trouve dommage que tu ne te sois pas davantage adapté au contexte, ne serait-ce que pour parler des récents événements avec la famille Coglione. Mais au-delà de ça, c'était agréable à lire, fluide, tout ce qu'il faut pour une bonne présentation, sur le principe ! Tu es donc désormais validé niveau 17 chez les Civilians. Tu peux d'ores et déjà passer en partie création de Hatsu si ce n'est pas déjà fait Wink

Attention toutefois, tu ne pourras avoir qu'une seule arme (ou autre avantage Rp) gratuitement. Il faudra acheter le reste !
Awful pour Epicode

Kadan Seitetsu
Présentation de Osnejils Ugiabt [Terminé] EmptySam 7 Déc - 18:13



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